En 1981, Nathalie Talec expose pour la première fois à Mannheim, puis en 1989 à la Villa Arson à Nice, en 1990 et 1991, respectivement à la Galerie Jean-François Dumont à Bordeaux et à la Galerie Laage Salomon à Paris.
En 1981, Nathalie Talec expose pour la première fois à Mannheim, puis en 1989 à la Villa Arson à Nice, en 1990 et 1991, respectivement à la Galerie Jean-François Dumont à Bordeaux et à la Galerie Laage Salomon à Paris.
En 2006, le Musée du Louvre l'accueille dans le cadre d’un parcours sentimental et musical intitulé Haute Fidélité.
Sa collaboration avec la Manufacture de Sèvres commence en 2008. Le MacVal - le Musée d’art contemporain de Vitry-sur-Seine - lui consacre une exposition monographique, où elle imagine de reproduire en biscuit de porcelaine, à taille réelle (1,50 m sur 0,70 m environ) un Traîneau. Pièce unique et véritable prouesse technique qui a mobilisé les nombreux ateliers de Sèvres, cette réalisation est un hommage à une figure emblématique des voyages exploratoires.
Nathalie Talec collabore à nouveau avec la Cité de la céramique en 2011, pour un projet intitulé The one who sees blindly, dans le cadre d'une exposition à San Francisco où elle présente des bustes d'Adrienne - fille d'Edmond Charles Houssin (professeur de modelage et sculpture à la Manufacture de Sèvres de 1885 à 1924) - dont elle modifie chacun des regards.
En 2012 et 2013, l'espace qui lui est offert à la galerie parisienne de Sèvres lui permet d'inscrire dans la continuité ses recherches artistiques et ses actes d'appropriation, comme avec ses nouvelles créations en porcelaine The one who sees blindly, Cry me a river, Snowballs, complétées par d'autres réalisations.