Né en Israël, Yaacov Agam se forme d'abord à Jérusalem à l'Académie d'art Bezalel que dirige Mordecai Ardon, élève du Bauhaus à Weimar sous le nom de Max Bronstein.
Né en Israël, Yaacov Agam se forme d'abord à Jérusalem à l'Académie d'art Bezalel que dirige Mordecai Ardon, élève du Bauhaus à Weimar sous le nom de Max Bronstein.
Celui-ci l'envoie en 1949 à Zurich où il fréquente d'autres artistes issus du Bauhaus. Ces enseignements lui permettent d'approfondir la théorie de la couleur et les principes du constructivisme. Agam se fixe à Paris en 1951 et commence à s'intéresser à l'art cinétique. Il s'inscrit à l’atelier d'art abstrait qu'anime Jean Dewasne et fait la connaissance de Fernand Léger et d'Auguste Herbin.
Il bénéficie en 1953 de sa première exposition personnelle, Tableaux transformables, dans laquelle il pose les bases d'un travail avec une référence au judaïsme constamment sous-jacente. Il s'impose à la première exposition internationale d’art cinétique à la galerie Denise René, à Paris en 1955. C'est alors André Breton qui choisit les titres de ses œuvres.
Agam connaît un très grand succès jusqu'au début des années 1970. Il reçoit de nombreuses commandes d'œuvres monumentales.
Pour la Manufacture nationale de Sèvres, il crée des décors de petit feu pour les assiettes du service de table Diane.